Campement de migrants porte de La Chapelle

Réfugiés bivouaquant sous les piles du périphériques aux abords du centre d’accueil pour migrants faute de places dans le centre.

Réfugiés bivouaquant sous les piles du périphériques aux abords du centre d'accueil pour migrants faute de places dans le centre. Un mur où il est écrit "refugees welcome"
Réfugiés bivouaquant sous les piles du périphériques aux abords du centre d'accueil pour migrants faute de places dans le centre. Un mur où il est écrit "refugees welcome"
Réfugiés bivouaquant sous les piles du périphériques aux abords du centre d'accueil pour migrants faute de places dans le centre.
Réfugiés bivouaquant sous les piles du périphériques aux abords du centre d'accueil pour migrants faute de places dans le centre.
Réfugiés bivouaquant sous les piles du périphériques aux abords du centre d'accueil pour migrants faute de places dans le centre.
Réfugiés bivouaquant sous les piles du périphériques aux abords du centre d'accueil pour migrants faute de places dans le centre.
Réfugiés bivouaquant sous les piles du périphériques aux abords du centre d'accueil pour migrants faute de places dans le centre.
Réfugiés bivouaquant sous les piles du périphériques aux abords du centre d'accueil pour migrants faute de places dans le centre.
Réfugiés bivouaquant sous les piles du périphériques aux abords du centre d'accueil pour migrants faute de places dans le centre.
Réfugiés bivouaquant sous les piles du périphériques aux abords du centre d'accueil pour migrants faute de places dans le centre.
Réfugiés bivouaquant sous les piles du périphériques aux abords du centre d'accueil pour migrants faute de places dans le centre.
Réfugiés bivouaquant sous les piles du périphériques aux abords du centre d'accueil pour migrants faute de places dans le centre.
Dans la journée du 8 Mars 2018, Karim un soudanais a été retrouvé mort sur le trottoirs, devant le centre géré par EMMAUS. Karim, dit "Chef", car dans ce petit coin de déshérence, c'est lui qui prenait soin des autres. Réfugié statutaire, il s'inquiétait souvent que ses camarades puissent mourir du sort qu'il leur était fait.
Dans la journée du 8 Mars 2018, Karim un soudanais a été retrouvé mort sur le trottoirs, devant le centre géré par EMMAUS. Karim, dit "Chef", car dans ce petit coin de déshérence, c'est lui qui prenait soin des autres. Réfugié statutaire, il s'inquiétait souvent que ses camarades puissent mourir du sort qu'il leur était fait.
Dans la journée du 8 Mars 2018, Karim Ibrahim un soudanais a été retrouvé mort sur le trottoirs, devant le centre géré par EMMAUS. Karim, dit "Chef", car dans ce petit coin de déshérence, c'est lui qui prenait soin des autres. Réfugié statutaire, il s'inquiétait souvent que ses camarades puissent mourir du sort qu'il leur était fait.
Dans la journée du 8 Mars 2018, Karim Ibrahim un soudanais a été retrouvé mort sur le trottoirs, devant le centre géré par EMMAUS. Karim, dit "Chef", car dans ce petit coin de déshérence, c'est lui qui prenait soin des autres. Réfugié statutaire, il s'inquiétait souvent que ses camarades puissent mourir du sort qu'il leur était fait.
Dans la journée du 8 Mars 2018, Karim Ibrahim un soudanais a été retrouvé mort sur le trottoirs, devant le centre géré par EMMAUS. Karim, dit "Chef", car dans ce petit coin de déshérence, c'est lui qui prenait soin des autres. Réfugié statutaire, il s'inquiétait souvent que ses camarades puissent mourir du sort qu'il leur était fait.
Dans la journée du 8 Mars 2018, Karim Ibrahim un soudanais a été retrouvé mort sur le trottoirs, devant le centre géré par EMMAUS. Karim, dit "Chef", car dans ce petit coin de déshérence, c'est lui qui prenait soin des autres. Réfugié statutaire, il s'inquiétait souvent que ses camarades puissent mourir du sort qu'il leur était fait.
Dans la journée du 8 Mars 2018, Karim Ibrahim un soudanais a été retrouvé mort sur le trottoirs, devant le centre géré par EMMAUS. Karim, dit "Chef", car dans ce petit coin de déshérence, c'est lui qui prenait soin des autres. Réfugié statutaire, il s'inquiétait souvent que ses camarades puissent mourir du sort qu'il leur était fait.
Dans la journée du 8 Mars 2018, Karim Ibrahim un soudanais a été retrouvé mort sur le trottoirs, devant le centre géré par EMMAUS. Karim, dit "Chef", car dans ce petit coin de déshérence, c'est lui qui prenait soin des autres. Réfugié statutaire, il s'inquiétait souvent que ses camarades puissent mourir du sort qu'il leur était fait.
Le Collectif Cœur de Pierre et Solidaire, regroupant des tailleurs de pierre de toute la France mène une action de solidarité avec les migrants et réfugies de La Chapelle. La mairie de Paris ayant installe des blocs de pierre pour empêcher les migrants de s'installer sous un pont Porte de la Chapelle (XVIII arr.), les tailleurs de pierre et autres associations d'aide aux migrants (quelques dizaines de personnes), décident de déplacer les pierres et les graver avec des inscriptions.
Le Collectif Cœur de Pierre et Solidaire, regroupant des tailleurs de pierre de toute la France mène une action de solidarité avec les migrants et réfugies de La Chapelle. La mairie de Paris ayant installe des blocs de pierre pour empêcher les migrants de s'installer sous un pont Porte de la Chapelle (XVIII arr.), les tailleurs de pierre et autres associations d'aide aux migrants (quelques dizaines de personnes), décident de déplacer les pierres et les graver avec des inscriptions.
Dans la journée du 8 Mars 2018, Karim un soudanais a été retrouvé mort sur le trottoirs, devant le centre géré par EMMAUS. Karim, dit "Chef", car dans ce petit coin de déshérence, c'est lui qui prenait soin des autres. Réfugié statutaire, il s'inquiétait souvent que ses camarades puissent mourir du sort qu'il leur était fait.
Dans la journée du 8 Mars 2018, Karim un soudanais a été retrouvé mort sur le trottoirs, devant le centre géré par EMMAUS. Karim, dit "Chef", car dans ce petit coin de déshérence, c'est lui qui prenait soin des autres. Réfugié statutaire, il s'inquiétait souvent que ses camarades puissent mourir du sort qu'il leur était fait.
Réfugiés bivouaquant sous les piles du périphériques aux abords du centre d'accueil pour migrants faute de places dans le centre. Un mur où il est écrit "I juste human"
Réfugiés bivouaquant sous les piles du périphériques aux abords du centre d'accueil pour migrants faute de places dans le centre. Un mur où il est écrit "I juste human"
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