Kosovo - Dragan Lekic

Kosovo

23 ans après la guerre au Kosovo lorsque l’Otan attaqua la Serbie pour stopper l’intervention des forces paramilitaires serbes, la Serbie et le Kosovo ne sont toujours pas sortis d’affaire.

kosovo mitrovica — Mitrovica (Kosovo). L’église orthodoxe Saint Dimitri inauguré a la fin de 2005, domine la partie nord de Mitrovica, secteur serbe. La ville est totalement séparée entre les communautés albanaises et serbes depuis la fin de la guerre.

Mitrovica (Kosovo).
Vue de Mitrovica, depuis la partie nord de la ville qui est le secteur serbe. La ville est totalement séparée entre les communautés albanaises et serbes depuis la fin de la guerre. — Mitrovica (Kosovo). Vue de Mitrovica, depuis la partie nord de la ville qui est le secteur serbe. La ville est totalement séparée entre les communautés albanaises et serbes depuis la fin de la guerre.

Mitrovica (Kosovo).
Vue de Mitrovica, depuis la partie nord de la ville qui est le secteur serbe. La ville est totalement séparée entre les communautés albanaises et serbes depuis la fin de la guerre. — Mitrovica (Kosovo). Vue de Mitrovica, depuis la partie nord de la ville qui est le secteur serbe. La ville est totalement séparée entre les communautés albanaises et serbes depuis la fin de la guerre.

Mitrovica (Kosovo).
Dans la partie serbe (au nord) de Mitrovica, février 2008. La tension est palpable. Le Kosovo s’apprête à déclarer son indépendance et la Serbie appelle à aller voter pour l’élection présidentielle. — Mitrovica (Kosovo). Dans la partie serbe (au nord) de Mitrovica, février 2008. La tension est palpable. Le Kosovo s’apprête à déclarer son indépendance et la Serbie appelle à aller voter pour l’élection présidentielle.

Mitrovica (Kosovo).
Dans la partie serbe (au nord) de Mitrovica, février 2008. La tension est palpable. Le Kosovo s’apprête à déclarer son indépendance et la Serbie appelle à aller voter pour l’élection présidentielle. — Mitrovica (Kosovo). Dans la partie serbe (au nord) de Mitrovica, février 2008. La tension est palpable. Le Kosovo s’apprête à déclarer son indépendance et la Serbie appelle à aller voter pour l’élection présidentielle.

Mitrovica (Kosovo).
Dans la partie serbe (au nord) de Mitrovica, février 2008. Ici, on vend ce qu’on peut pour survivre — Mitrovica (Kosovo). Dans la partie serbe (au nord) de Mitrovica, février 2008. Ici, on vend ce qu’on peut pour survivre

Mitrovica (Kosovo).
Dans la partie serbe (au nord) de Mitrovica, février 2008. La tension est palpable. Le Kosovo s'apprête à déclarer son indépendance et la Serbie appelle à aller voter pour l'élection présidentielle. Des portrait de Vladimir Vladimirovitch Poutine — Mitrovica (Kosovo). Dans la partie serbe (au nord) de Mitrovica, février 2008. La tension est palpable. Le Kosovo s'apprête à déclarer son indépendance et la Serbie appelle à aller voter pour l'élection présidentielle. Des portrait de Vladimir Vladimirovitch Poutine

Mitrovica (Kosovo).
Dans la partie serbe (au nord) de Mitrovica, février 2008. La tension est palpable. Le Kosovo s’apprête à déclarer son indépendance et la Serbie appelle à aller voter pour l’élection présidentielle. Les patrouilles (gérées ici par un commandement français) ont été augmentées. — Mitrovica (Kosovo). Dans la partie serbe (au nord) de Mitrovica, février 2008. La tension est palpable. Le Kosovo s’apprête à déclarer son indépendance et la Serbie appelle à aller voter pour l’élection présidentielle. Les patrouilles (gérées ici par un commandement français) ont été augmentées.

Mitrovica (Kosovo).
Dans la partie serbe (au nord) de Mitrovica, février 2008. Ici, on vend ce qu’on peut pour survivre — Mitrovica (Kosovo). Dans la partie serbe (au nord) de Mitrovica, février 2008. Ici, on vend ce qu’on peut pour survivre

Mitrovica (Kosovo).
Que l’on appartienne à l’un ou à l’autre communauté, on ne traverse pas le pont. Les derniers tragiques accrochages de 2004 ont réduit à néant les projets cherchant à réunir les deux communautés. — Mitrovica (Kosovo). Que l’on appartienne à l’un ou à l’autre communauté, on ne traverse pas le pont. Les derniers tragiques accrochages de 2004 ont réduit à néant les projets cherchant à réunir les deux communautés.

Mitrovica (Kosovo).
Le pont qui enjambe la rivière Ibar est une sorte de frontière symbolique entre les communautés albanaises et serbes. Que l’on appartienne à l’un ou à l’autre communauté, on ne traverse pas le pont. Les derniers tragiques accrochages de 2004 ont réduit à néant les projets cherchant à réunir les deux communautés. — Mitrovica (Kosovo). Le pont qui enjambe la rivière Ibar est une sorte de frontière symbolique entre les communautés albanaises et serbes. Que l’on appartienne à l’un ou à l’autre communauté, on ne traverse pas le pont. Les derniers tragiques accrochages de 2004 ont réduit à néant les projets cherchant à réunir les deux communautés.

Mitrovica (Kosovo).
Que l’on appartienne à l’un ou à l’autre communauté, on ne traverse pas le pont. Les derniers tragiques accrochages de 2004 ont réduit à néant les projets cherchant à réunir les deux communautés. — Mitrovica (Kosovo). Que l’on appartienne à l’un ou à l’autre communauté, on ne traverse pas le pont. Les derniers tragiques accrochages de 2004 ont réduit à néant les projets cherchant à réunir les deux communautés.

Mitrovica (Kosovo).
Le pont qui enjambe la rivière Ibar est une sorte de frontière symbolique entre les communautés albanaises et serbes. Que l’on appartienne à l’un ou à l’autre communauté, on ne traverse pas le pont. Les derniers tragiques accrochages de 2004 ont réduit à néant les projets cherchant à réunir les deux communautés. — Mitrovica (Kosovo). Le pont qui enjambe la rivière Ibar est une sorte de frontière symbolique entre les communautés albanaises et serbes. Que l’on appartienne à l’un ou à l’autre communauté, on ne traverse pas le pont. Les derniers tragiques accrochages de 2004 ont réduit à néant les projets cherchant à réunir les deux communautés.

Mitrovica (Kosovo).
Dans la partie albanaise (au sud) de Mitrovica. — Mitrovica (Kosovo). Dans la partie albanaise (au sud) de Mitrovica.

Sur la route de Pristina (Kosovo). De nombreux autocars font les liaisons entre les villes et villages au Kosovo.

Priluzje (Kosovo).
Une enclave serbe du Kosovo. — Priluzje (Kosovo). Une enclave serbe du Kosovo.

Priluzje (Kosovo).
À Priluzje, une enclave serbe du Kosovo. Ici, la télé, le téléphone, les services postaux, les services publics sont serbes, ainsi que la monnaie. L’euro n’a pas cours, c’est le dinar serbe qui circule. — Priluzje (Kosovo). À Priluzje, une enclave serbe du Kosovo. Ici, la télé, le téléphone, les services postaux, les services publics sont serbes, ainsi que la monnaie. L’euro n’a pas cours, c’est le dinar serbe qui circule.

Priluzje (Kosovo). Une enclave serbe du Kosovo. Un groupe de Serbe dans le café du village.

Priluzje (Kosovo).
Eglise orthodoxe de Priluzje, une enclave serbe du Kosovo. — Priluzje (Kosovo). Eglise orthodoxe de Priluzje, une enclave serbe du Kosovo.

Priluzje (Kosovo).
Une enclave serbe du Kosovo. — Priluzje (Kosovo). Une enclave serbe du Kosovo.

Priluzje (Kosovo).
Une enclave serbe du Kosovo. — Priluzje (Kosovo). Une enclave serbe du Kosovo.

Orahovac (Kosovo).
La ville Orahovac, qui a été très marquée par la guerre de 1999, est divisée en deux. Dans la partie haute vivent des Serbes dans une enclave, tandis que la partie basse, qui se développe,e st composée par la population albanaise. — Orahovac (Kosovo). La ville Orahovac, qui a été très marquée par la guerre de 1999, est divisée en deux. Dans la partie haute vivent des Serbes dans une enclave, tandis que la partie basse, qui se développe,e st composée par la population albanaise.

Orahovac (Kosovo).
La ville Orahovac, qui a été très marquée par la guerre de 1999, est divisée en deux. Dans la partie haute vivent des Serbes dans une enclave, tandis que la partie basse, qui se développe,e st composée par la population albanaise. — Orahovac (Kosovo). La ville Orahovac, qui a été très marquée par la guerre de 1999, est divisée en deux. Dans la partie haute vivent des Serbes dans une enclave, tandis que la partie basse, qui se développe,e st composée par la population albanaise.

Orahovac (Kosovo).
La ville Orahovac, qui a été très marquée par la guerre de 1999, est divisée en deux. Dans la partie haute vivent des Serbes dans une enclave, tandis que la partie basse, qui se développe,e st composée par la population albanaise. — Orahovac (Kosovo). La ville Orahovac, qui a été très marquée par la guerre de 1999, est divisée en deux. Dans la partie haute vivent des Serbes dans une enclave, tandis que la partie basse, qui se développe,e st composée par la population albanaise.

Orahovac (Kosovo).
La ville Orahovac, qui a été très marquée par la guerre de 1999, est divisée en deux. Dans la partie haute vivent des Serbes dans une enclave, tandis que la partie basse, qui se développe,e st composée par la population albanaise. — Orahovac (Kosovo). La ville Orahovac, qui a été très marquée par la guerre de 1999, est divisée en deux. Dans la partie haute vivent des Serbes dans une enclave, tandis que la partie basse, qui se développe,e st composée par la population albanaise.

Orahovac (Kosovo).
La ville Orahovac, qui a été très marquée par la guerre de 1999, est divisée en deux. Dans la partie haute vivent des Serbes dans une enclave, tandis que la partie basse, qui se développe,e st composée par la population albanaise. L’armée est très présente dans la ville. — Orahovac (Kosovo). La ville Orahovac, qui a été très marquée par la guerre de 1999, est divisée en deux. Dans la partie haute vivent des Serbes dans une enclave, tandis que la partie basse, qui se développe,e st composée par la population albanaise. L’armée est très présente dans la ville.

Velika Hoca (Kosovo).
Velika Hoca, une enclave serbe au cœur du Kosovo. — Velika Hoca (Kosovo). Velika Hoca, une enclave serbe au cœur du Kosovo.

Velika Hoca (Kosovo).
Velika Hoca, une enclave serbe au cœur du Kosovo. — Velika Hoca (Kosovo). Velika Hoca, une enclave serbe au cœur du Kosovo.

Velika Hoca (Kosovo).
Velika Hoca, une enclave serbe au c?ur du Kosovo. Un paysan serbe dans son potager. — Velika Hoca (Kosovo). Velika Hoca, une enclave serbe au c?ur du Kosovo. Un paysan serbe dans son potager.

Velika Hoca (Kosovo).
Velika Hoca, une enclave serbe au cœur du Kosovo. Inauguration de nouveaux locaux de l’école du village. — Velika Hoca (Kosovo). Velika Hoca, une enclave serbe au cœur du Kosovo. Inauguration de nouveaux locaux de l’école du village.

Velika Hoca (Kosovo).
Velika Hoca, une enclave serbe au cœur du Kosovo. Inauguration de nouveaux locaux de l’école du village. — Velika Hoca (Kosovo). Velika Hoca, une enclave serbe au cœur du Kosovo. Inauguration de nouveaux locaux de l’école du village.

Velika Hoca (Kosovo).
Inauguration de nouveaux locaux de l’école du village, par Soeur Johanna et le général de brigade Ugur Tarcin, des forces de la KFOR. — Velika Hoca (Kosovo). Inauguration de nouveaux locaux de l’école du village, par Soeur Johanna et le général de brigade Ugur Tarcin, des forces de la KFOR.

Région d’Orahovac/Rahovec, Kosovo.
Becir Hadzijaha (à gauche), viticulteur albanais examine son vin en compagnie de Marjan Saric, directeur de la coopérative Agrokop, la première et unique coopérative qui unie Serbes et Albanais du Kosovo. — Région d’Orahovac/Rahovec, Kosovo. Becir Hadzijaha (à gauche), viticulteur albanais examine son vin en compagnie de Marjan Saric, directeur de la coopérative Agrokop, la première et unique coopérative qui unie Serbes et Albanais du Kosovo.

Région d’Orahovac/Rahovec, Kosovo.
Becir Hadzijaha (à gauche), viticulteur albanais examine son vin en compagnie de Marjan Saric, directeur de la coopérative Agrokop, la première et unique coopérative qui unie Serbes et Albanais du Kosovo. — Région d’Orahovac/Rahovec, Kosovo. Becir Hadzijaha (à gauche), viticulteur albanais examine son vin en compagnie de Marjan Saric, directeur de la coopérative Agrokop, la première et unique coopérative qui unie Serbes et Albanais du Kosovo.

Région d’Orahovac/Rahovec, Kosovo.
Becir Hadzijaha (à droite), viticulteur albanais examine son vin en compagnie de Marjan Saric(G), directeur de la coopérative Agrokop, la première et unique coopérative qui unie Serbes et Albanais du Kosovo. — Région d’Orahovac/Rahovec, Kosovo. Becir Hadzijaha (à droite), viticulteur albanais examine son vin en compagnie de Marjan Saric(G), directeur de la coopérative Agrokop, la première et unique coopérative qui unie Serbes et Albanais du Kosovo.

Fushe Kosove. Pristina (Kosovo).
Vie quotidienne dans les rues de la capitale du Kosovo. — Fushe Kosove. Pristina (Kosovo). Vie quotidienne dans les rues de la capitale du Kosovo.

Fushe Kosove. Pristina (Kosovo).
Vie quotidienne dans les rues de la capitale du Kosovo. — Fushe Kosove. Pristina (Kosovo). Vie quotidienne dans les rues de la capitale du Kosovo.

Pristina (Kosovo).
Vie quotidienne dans les rues de la capitale du Kosovo. Ici comme en Europe les familles roms vivent en faisant de la récupération des poubelles. — Pristina (Kosovo). Vie quotidienne dans les rues de la capitale du Kosovo. Ici comme en Europe les familles roms vivent en faisant de la récupération des poubelles.

Sur la route de Pristina (Kosovo). De nombreux autocars font les liaisons entre les villes et villages au Kosovo.

Pristina (Kosovo).
Dans la capitale du Kosovo. — Pristina (Kosovo). Dans la capitale du Kosovo.

Pristina (Kosovo).
Au centre ville, les vestiges d’un Eglise orthodoxe laissée à l’abandon depuis la fin de la guerre. — Pristina (Kosovo). Au centre ville, les vestiges d’un Eglise orthodoxe laissée à l’abandon depuis la fin de la guerre.

Fushe Kosove. Pristina (Kosovo).
Vie quotidienne dans les rues de la capitale du Kosovo. — Fushe Kosove. Pristina (Kosovo). Vie quotidienne dans les rues de la capitale du Kosovo.

Fushe Kosove. Pristina (Kosovo).
Vie quotidienne dans les rues de la capitale du Kosovo. — Fushe Kosove. Pristina (Kosovo). Vie quotidienne dans les rues de la capitale du Kosovo.

Pristina (Kosovo).
Dans la capitale du Kosovo. — Pristina (Kosovo). Dans la capitale du Kosovo.

Fushe Kosove. Pristina (Kosovo).
Vie quotidienne dans les rues de la capitale du Kosovo. — Fushe Kosove. Pristina (Kosovo). Vie quotidienne dans les rues de la capitale du Kosovo.

Fushe Kosove. Pristina (Kosovo).
Vie quotidienne dans les rues de la capitale du Kosovo. — Fushe Kosove. Pristina (Kosovo). Vie quotidienne dans les rues de la capitale du Kosovo.

Fushe Kosove. Pristina (Kosovo).
Vie quotidienne dans les rues de la capitale du Kosovo. — Fushe Kosove. Pristina (Kosovo). Vie quotidienne dans les rues de la capitale du Kosovo.

Pristina (Kosovo).
Des photos de disparus de la guerre sont accrochés au mur du bâtiment de la Minuk, qui administre le Kosovo. On estime que près de 2000 personnes n’ont toujours pas été retrouvées depuis le printemps 1999, environ 300 Serbes et près de 1500 Albanais. — Pristina (Kosovo). Des photos de disparus de la guerre sont accrochés au mur du bâtiment de la Minuk, qui administre le Kosovo. On estime que près de 2000 personnes n’ont toujours pas été retrouvées depuis le printemps 1999, environ 300 Serbes et près de 1500 Albanais.

Pristina (Kosovo).
Dans une des rues principales de Pristina, une affiche remercie Bill Clinton, ancien président des États-Unis pour son soutien au Kosovo en 1999. — Pristina (Kosovo). Dans une des rues principales de Pristina, une affiche remercie Bill Clinton, ancien président des États-Unis pour son soutien au Kosovo en 1999.

Fushe Kosove. Pristina (Kosovo).
Vie quotidienne dans les rues de la capitale du Kosovo. — Fushe Kosove. Pristina (Kosovo). Vie quotidienne dans les rues de la capitale du Kosovo.

Fushe Kosove. Pristina (Kosovo).
Vie quotidienne dans les rues de la capitale du Kosovo. — Fushe Kosove. Pristina (Kosovo). Vie quotidienne dans les rues de la capitale du Kosovo.

Pristina (Kosovo).
Prière à Pristina. Ici, l’islam pratiqué est très modéré. — Pristina (Kosovo). Prière à Pristina. Ici, l’islam pratiqué est très modéré.

Pristina (Kosovo).
Dans les rues de Pristina. La population s’apprête à participer à la fête d’indépendance prévue le 18 février 2008. — Pristina (Kosovo). Dans les rues de Pristina. La population s’apprête à participer à la fête d’indépendance prévue le 18 février 2008.