À Belgrade, comme dans les autres villes du pays, les Roms sont parqués dans de véritables bidonvilles, loin du centre. Vivant de petits travaux, de récupération voire de mendicité, la politique actuelle des autorités est de “permettre aux Roms de vivre de leurs activités traditionnelles”, ce qui, clairement, signifie les faire vivre de la récupération des vieux papiers et autres détritus.